Modes d'expression

La relation entre le coeur et le cerveau est le point de départ du travail de Solène Le Goff, elle cherche ici à montrer que le cerveau qui est le siège de la pensée ne peut pas exister sans le coeur qui est lui, le siège de l’émotion. C’est pourquoi dans ce travail on passe du dessin au volume.

Le travail d’Edina Czelusa a débuté par une réflexion sur le thème du bijou, au cours de ses recherches elle en est arrivée à l’idée que les pierres précieuses représentaient les humeurs du corps humain.

Voici la mise en oeuvre du projet de Sophie Blanchet à propos de sa réflexion sur la notion de parasite. Les éléments qui prolifèrent vers le haut sont les parasites qui puisent l’énergie de l’hôte posé au sol, petit à petit ce dernier va finir par s’éteindre.

Antoine Debaigue a choisi de créer un un son et de l’analyser pour en extraire un volume tangible.  Les différentes formes d’ondes montrent les différents types de sonorité.

Le départ de ce travail est une réflexion sur le temps, il a conduit Aline Mulonnière à créer une machine à regarder le temps qui passe, sorte de moulin à actionner manuellement et qui produit un effet d’optique.

Le travail de Yohann Chaussepied parle de sa répulsion pour les moustiques…

Au départ du projet de Germain Verbrackel, un sujet choisi par sérendipité dans un dictionnaire : RATER. Une réflexion conduite sur ce qui détermine le fait de rater ou non l’a conduit à conclure que le ratage peut être source d’innovation. Il décide alors d’additionner des éléments qui mêlent une forme issue du monde animal (ici, le requin) et un produit, le vélo.

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Structure construite par Violaine Kermoal. L’idée est de mettre le spectateur en situation d’éprouver des sensations , on entre dans un espace sombre et étroit, on se dirige vers la lumière, une odeur de citron envahit l’atmosphère et l’on arrive face à un mirroir cible.