« Lorsqu’on parle de série en art, on désigne soit un ensemble ordonné d’œuvres régies par un thème, support d’un problème plastique à résoudre, soit une multiplicité de figures plus ou moins équivalentes résultant d’un jeu combinatoire ou encore d’un traitement répétitif systématique. » Encyclopedia universalis
D’une manière générale, le mot série exprime la notion d’enchaînement d’entités proches.
Variation : Etat de ce qui varie, modification, changement, écart, différence entre deux états. (Larousse)
Les étudiants de première année réalise une série de sculptures abstraites (au moins trois) qui jouent sur un système de variation (de formes, de matières, d’échelles, de couleurs, de structures, …)
Comment représenter l’espace par le dessin, donner une impression de profondeur, de volume, d’immensité. Les étudiants de première année expérimentent en travaillant le support, différents médiums, les densités de noir et de blanc, les superpositions, collages, transparences, tensions, testant et multipliants toutes sortes de manipulations plastiques .
A partir d’un seul matériau (récupéré en grande quantité), les étudiants ES3 conçoivent et réalisent un paysage se développant dans un espace de l’école. Il s’agit de le penser comme un espace scénique, prenant en compte du son et de la lumière.
Les contraintes : On ne doit percevoir dans le paysage que le matériau choisi avec les liens, attaches et autres systèmes ayant servi à les assembler, accrocher, structurer… (pas d’interventions peintes ou graphiques). Catastrophe de Ophélie HERDZIK, Ophélie LERAY, Thomas RAYMOND-MOUSSET
Aquatique de Caroline BLOCK, Alix BOURREAU, Anne Loraine BUREAU, Robin DE NADAI
7181229205 de Clara LAUNAY, Laura PASQUIER, Jirawan WANAUDOM
Objets connectés, objets augmentés deux concepts dont on ne perçoit pas toujours bien la définition mais dont on voit qu’ils sont à la base un potentiel incroyable de recherche, d’imaginaire, de poésie.
L’idée de ce projet est de connecter et d’augmenter un objet usuel, déjà très visité par les designers, « LA CHAISE » et de lui créer des connexions, des augmentations plus graphiques, visuelles, plastiques, critiques que fonctionnelles…
Un projet mené par les étudiants en Design Graphique.
Un socle est un support sur lequel on pose une sculpture, souvent neutre il permet de la mettre en valeur. Une sculpture est une forme en trois dimensions réalisée en modelage, en taille, en collage, assemblage de matériaux ou d’objets hétéroclites… Le corps est un matériau vivant, mobile, plastique, sensible qui peut prendre de nombreuses positions, expressions, apparences, identités…
Dans ce projet réalisé par les étudiants de première année en création plastique, l’idée était de concevoir une sculpture dont le corps serait le socle. Il leur a fallu chercher les différentes connexions possibles entre la sculpture et le corps, explorer des notions formelles, équilibre, tension, poids, taille et envisager des notions plus subjectives, séduction, hybridation, mutation, fantasme, tabou, agression, protection, prothèse…
À l’origine un manifeste est un texte, une déclaration qui expose un programme d’action, une prise de position souvent politique, religieuse ou esthétique. C’est une proclamation qui expose une manière de voir les choses, de donner un point de vue.
Les étudiants de première année, dans le cadre du cours de création plastique ont créé des objets qualifiés de manifeste afin d’exprimer leur vision du monde, de dénoncer quelque chose, de traduire un engagement, de communiquer des valeurs, d’apporter des éléments critiques, de montrer des partis pris, de provoquer la réflexion…
À partir de du thème de la mobilité, les étudiants en première année de la filière transport ont développé un travail de création plastique, libre dans sa forme.
A partir de clichés en noir et blanc, les étudiants DG1, transcrivent par le graphisme et la couleur la rencontre, l’échange, la tension, le flux qui relient plusieurs personnes donnant une lisibilité visuelle à des états sensibles.
Tradition ancestrale et universelle, le tatouage s’inscrit dans la peau. Ses pratiques, histoires, significations sont multiples et ne cessent d’évoluer. Vecteur de prestige social et identitaire chez les Maoris, symbole de conceptions tribales ou magiques en Asie du Sud-Est et en Océanie, signe de contestation du « petit peuple » dans le Japon du XVIIème siècle… Plus tard en Occident, marins, bagnards, puis tribus urbaines ont adopté le tatouage pour manifester leur appartenance à un groupe, ou leur marginalité. Aujourd’hui, il s’affirme sans doute différemment, mixant les références, investissant de nouveaux champs, de nouveaux codes esthétiques.
Les tatoueurs qui affichaient bien souvent le même profil marginal que les tatoués, ne sortent plus de prison ou d’une bande de motards, mais plus sûrement des Beaux-arts, des écoles d’arts graphiques, …
A travers le dessin, la maquette, le travail sur mannequin, les étudiants en Design Graphique revisitent, s’approprient, détournent, reconceptualisent les codes du tatouage…
Concevoir une ligne qui traverse l’école, partant du hall d’entrée, proliférant dans l’espace, du sol au plafond, proposant un scénario, une aventure graphique se développant au fur et à mesure de ses pérégrinations, de ses ramifications, de ses accidents, de sa créativité…
Le projet peut être complètement abstrait, il peut également jouer avec des éléments typographiques, figuratifs, codés, …Vous en garderez la trace sous la forme d’une vidéo.
Un projet échevelé réalisé par les G2 en 2015.