L’esprit du lieu qualifie un endroit dans une synthèse des différents éléments, matériels et immatériels, qui contribuent à son identité.
Choisir un lieu réel, porteur de sens, en faire le diagnostic, repérer les éléments dont il est constitué et réaliser un autel qui lui sera dédié.
Voici le résultat de ce travail réalisé par des étudiants de première année, on y découvre des hommages à des jardins, une casse de voiture, à Gaudi, à la maison de l’enfance…
L’école de Design devient pour les étudiants de première année un terrain d’aventure propice à l’expérimentation, la déambulation créative, le jeu visuel. Jouer avec l’espace, le mouvement, les autres pour faire émerger des aspects insolites, oniriques, poétiques permet autant de bricoler le réel que de porter un point de vue, une vision sur l’espace dans lequel on gravite tous les jours…
Créer un volume qui évoque au choix, un paysage, un voyage, un récit, s’interroger sur la transposition en trois dimensions d’un travail graphique en deux dimensions. Travail réalisé par les élèves de deuxième année, filière graphique.
Réalisation de Margot Richard, modeler le paysage, y découvrir des visages, comme dans les nuages.
L’arbre de Marine Bodin.
Souvenir d’un voyage en Chine, Camille Dechartes.
Le voyage intérieur, Marjorie Philippe.Paysage irradié, Nassim Bouaza.
Tempête de sable dans le désert, Ophélie Le Bras.
Deux faces, d’un même voyage, Pierre Nouet.
Le bureau, meuble et lieu, architecture. Théo Boussion.
Une vision de la ville dévastée par la pénurie des ressources naturelles. René Mambembe.
Un travail photographique, réalisé par Alexandra Avenard dans l’atelier de création plastique en première année. Il s’agit ici d’une superposition d’images qui mêle deux univers.
Un travail de Camille Dahut, réalisé dans le cadre de l’atelier de création plastique en première année. Le sujet était : Autofiction. Il s’agit ici d’un moulage de son propre corps hybridé avec celui d’un renard…
Le départ de ce travail est une réflexion sur le temps, il a conduit Aline Mulonnière à créer une machine à regarder le temps qui passe, sorte de moulin à actionner manuellement et qui produit un effet d’optique.
Au départ du projet de Germain Verbrackel, un sujet choisi par sérendipité dans un dictionnaire : RATER. Une réflexion conduite sur ce qui détermine le fait de rater ou non l’a conduit à conclure que le ratage peut être source d’innovation. Il décide alors d’additionner des éléments qui mêlent une forme issue du monde animal (ici, le requin) et un produit, le vélo.
Structure construite par Violaine Kermoal. L’idée est de mettre le spectateur en situation d’éprouver des sensations , on entre dans un espace sombre et étroit, on se dirige vers la lumière, une odeur de citron envahit l’atmosphère et l’on arrive face à un mirroir cible.