Concevoir une ligne qui traverse l’école, partant du hall d’entrée, proliférant dans l’espace, du sol au plafond, proposant un scénario, une aventure graphique se développant au fur et à mesure de ses pérégrinations, de ses ramifications, de ses accidents, de sa créativité…
Le projet peut être complètement abstrait, il peut également jouer avec des éléments typographiques, figuratifs, codés, …Vous en garderez la trace sous la forme d’une vidéo.
Un projet échevelé réalisé par les G2 en 2015.
L’attente est souvent liée à des émotions négatives car elle nous met en situation de passivité avec le sentiment de temps perdu, d’ennui, de tension.
La définition du Larousse nous dit que : « Attendre signifie rester en un lieu jusqu’à ce que quelqu’un arrive, que quelque chose soit prêt ou se produise ; compter sur la venue de quelqu’un, sur l’arrivée de quelque chose ; compter sur l’action de quelqu’un, sur le résultat de quelque chose» .
Pour ce projet, les étudiants de première année ont travaillé sur les lieux de l’attente. Dans un premier temps, ils ont fait un repérage de ces endroits et observé les comportements qu’induisent ces espaces.
L’idée, dans un deuxième temps, est de faire surgir de l’inattendu, de créer un dysfonctionnement, un évènement, une situation, une perturbation…
L’école de Design devient pour les étudiants de première année un terrain d’aventure propice à l’expérimentation, la déambulation créative, le jeu visuel. Jouer avec l’espace, le mouvement, les autres pour faire émerger des aspects insolites, oniriques, poétiques permet autant de bricoler le réel que de porter un point de vue, une vision sur l’espace dans lequel on gravite tous les jours…
L’école de Design devient pour les étudiants de première année un terrain d’aventure propice à l’expérimentation, la déambulation créative, le jeu visuel. Jouer avec l’espace, le mouvement, les autres pour faire émerger des aspects insolites, oniriques, poétiques permet autant de bricoler le réel que de porter un point de vue, une vision sur l’espace dans lequel on gravite tous les jours…
Pendant 24h, les étudiants, par groupe de 5, prennent une photographie toutes les heures d’un lieu qu’ils ont choisi, puis, créent un dispositif plastique qui rend compte de leur expérience.
A partir de l’observation de structures organiques, végétales, minérales, architecturales, les étudiants de première année ont été amenés à réaliser un dispositif plastique mettant en scène l’évolution imaginaire d’une « construction» de sa naissance jusqu’à sa mort.
Pour ce travail de groupe il était demandé aux étudiants de première année de réaliser un dispositif plastique matérialisant des notions liées à l’interactivité.