Les étudiants de première année ont travaillé sur la notion de cité utopique, élaborant des hypothèses, des systèmes d’organisation, de pensée, cherchant des formes, des structures, des « modèles» , leur permettant de créer la maquette d’une « ville idéale» .
Comment mêler le regard sportif et l’œil artistique ?
Nous essayerons de traduire et d’interpréter différents éléments du vélo. Le regard sportif et l’œil artistique peuvent se confondre. Comment le travail créatif devient un moyen de compréhension, d’analyse et d’explication d’une activité physique ?
Pour ce travail de groupe il était demandé aux étudiants de première année de réaliser un dispositif plastique matérialisant des notions liées à l’interactivité.
Les images qui suivent sont extraites du cahier de recherche de Vincent Leroux, ce travail a été réalisé dans le cadre de l’atelier de création plastique. Le thème choisi par l’étudiant était celui de l’enfance et des cauchemards.
Les images qui suivent proviennent du cahier de recherches de Benoît Vitoux, étudiant en 3ème année. Il s’agit d’une réflexion sur l’espace/temps, comment matérialiser la notion de présent.
Une représentation du temps.
[caption id="attachment_581" align="alignnone" width="300" caption="L\'instant où vous êtes."][/caption]
L'espace temps mis en abîme.
[caption id="attachment_583" align="alignnone" width="200" caption="Précision sur la mise en abîme."][/caption]
Passage d'un espace temps à l'autre.
L'instant T du coureur.
[caption id="attachment_587" align="alignnone" width="219" caption="Zone de temps dans l\'espace."][/caption]
Recherche d'un choix de lieu dans lequel le projet espace/temps pourrait s'inscrire.
[caption id="attachment_589" align="alignnone" width="217" caption="L\'inscription dans un lieu se précise."][/caption]
Le projet final présente une espace/temps compressé...
Une série de dessins réalisés par François Rousseau, étudiant en 3ème année. Travail réalisé dans le cadre de l’atelier de création plastique, le sujet choisi par cet étudiant était les réseaux dans le corps humain.
Les étudiants de première année ont travaillé sur la notion de « cartographie subjective» , empruntant et détournant les codes de la cartographie pour rendre compte d’un parcours dont les contours peuvent prendre des formes les plus singulières, mettant parfois à mal les lois de la géographie.